Le mensuel Pour La Montagne – 2019

Le magazine Pour La Montagne (PLM) est l’un des principaux outils de communication de l’ANEM. Mensuel de référence de la montagne, il est imprimé à plus de 6000 exemplaires et couvre l’ensemble des sujets d’actualité : finances, environnement, agriculture, tourisme, etc.

Retrouvez des dossiers de fond, des portraits de figures emblématiques de la montagne, des interviews…

n°301 – AU CHEVET DE LA SANTÉ EN MONTAGNE

Édito :

Annie GENEVARD, présidente de l’ANEM, députée du Doubs

LA MONTAGNE EN DÉBAT

« Dans le Grand débat national, dont la première phase de contributions ouvertes court jusqu’au 15 mars, les élus ont leur mot à dire, notamment pour la phase de synthèse organisée par la mission du grand débat qui donnera lieu aux conférences citoyennes régionales.
À cette occasion, il est indispensable que les élus de la montagne soient présents. Le scénario de la Conférence nationale des territoires ne doit pas se reproduire. Il est en effet primordial de faire entendre la spécificité des territoires de montagne au regard du questionnement présidentiel tout autant que des demandes qui émergeront de la multitude des contributions. Qu’il s’agisse de la révision du système fiscal pour qu’il soit plus juste, de la réussite de la transition écologique et énergétique ou du fonctionnement de nos institutions, la montagne a d’importantes cartes à jouer.
Pour renforcer la laïcité et le partage des valeurs de la République, tous deux plus nécessaires que jamais, il faut en premier lieu s’attacher à résoudre le problème croissant de la méconnaissance chez nos concitoyens des institutions, de leur utilité et de leur fonctionnement, sans oublier également celle des réalités de la montagne. Il y a quelques années, nous appelions de nos vœux à un nouveau pacte entre la montagne et la nation. Espérons que le Grand débat national soit aujourd’hui l’occasion de le concrétiser pleinement. »

n°302 – L’AGRICULTURE BIO PREND DE LA HAUTEUR

Édito :

ANNIE GENEVARD et JEANINE DUBIÉ, présidente et secrétaire générale de l’ANEM, députées du Doubs et des Hautes-Pyrénées

JAMAIS DEUX SANS TROIS

« En tant que présidente et secrétaire générale, tout comme nos chers collègues du Comité directeur, nous saluons et nous nous réjouissons de la désignation de Frédérique Lardet, députée de la Haute-Savoie, par ses pairs de la majorité, pour assurer, à nos côtés, la fonction de vice-présidente de l’ANEM. Décidée par l’Assemblée générale d’octobre dernier, lors du Congrès de Morteau, la création de cette vice-présidence marque une étape nouvelle et importante dans l’histoire de l’Association. En effet, dans une volonté d’ouverture et de juste représentation, elle inscrit dans notre fonctionnement interne les nouveaux équilibres politiques apparus en 2017, tout comme la composition du Comité directeur lors de sa réélection, avec l’arrivée de 26 parlementaires de la nouvelle majorité. Cet enrichissement va nous permettre de conforter l’unité des élus en faveur de la cause montagnarde qui a toujours été la clé de nos succès. De surcroît, il se trouve que cet exécutif tripartite innovant est entièrement féminin (simple fait du hasard) et qu’il incarne trois massifs de montagne. C’est pourquoi nous sommes non seulement heureuses, mais particulièrement fières de l’arrivée de Frédérique, que nous félicitons chaleureusement pour sa désignation et ne doutons pas qu’à trois nous serons encore plus combatives et efficaces.

Dans cette perspective, nous entendons ne pas nous départir de la persévérance et de la solidarité qui font notre force et assurent nos succès.»

n°303 – LES ÉLUS DE LA MONTAGNE DANS LE GRAND DÉBAT NATIONAL

Édito :

FRÉDÉRIQUE LARDET, vice-présidente de l’ANEM, députée de la Haute-Savoie

LA MONTAGNE EN DÉBAT

« Aux yeux des montagnards, s’il est un sujet qui ne devrait pas faire débat, c’est bien celui de la montagne. Territoire d’enjeux par excellence, la reconnaissance par la loi de son droit à la différence et à la solidarité nationale du fait du handicap géophysique qui la caractérise, mais également les atouts exceptionnels qu’elle présente, en feraient un objet de consensus massif et la destinataire de toutes les attentions des politiques publiques. Pourtant, en dépit de toutes les déclarations de bonnes intentions et de toutes les garanties consignées dans le droit positif, la montagne éprouve trop souvent les plus grandes difficultés à faire entendre et reconnaître sa singularité. C’est pourquoi les élus de la montagne ne pouvaient pas rester absents du Grand débat national qui vient de se clore. Si, dès le départ, nous avons considéré que cet exercice s’adressait prioritairement aux citoyens, l’ANEM se devait, en tant qu’association représentative de l’intérêt général de territoires spécifiques, de faire part, elle aussi, de ses espérances et de ses propositions. Au cœur de cellesci, la question de la subsidiarité dans la définition et la conduite des politiques publiques et celle de la représentation des territoires de montagne dans les assemblées où s’exerce la démocratie figurent en bonne place. La contribution de l’ANEM au Grand débat national fait l’objet du dossier du présent numéro. Espérons qu’avec elle, la montagne trouve sa place dans la synthèse et les annonces présidentielles et/ou gouvernementales qui suivront. »

n°304 – LES HABITS NEUFS DES OFFICES DE TOURISME

Édito :

JEANINE DUBIÉ, secrétaire générale de l’ANEM, députée des Hautes-Pyrénées

« MONTAGNE D’EUROPE, ES-TU LÀ »

« Entre réunion de la commission permanente du Conseil national de la montagne et élections parlementaires européennes, plusieurs rendez-vous majeurs de ce mois de mai sont, pour la montagne, porteurs autant d’espoirs que d’enjeux. Mais c’est principalement vers l’Europe que nos yeux se tournent. Malmenée, durant la législature qui vient de s’achever, entre Brexit et crise migratoire, l’Union européenne a manifestement besoin d’un nouveau souffle. Il y a cinq ans, nous appelions ici à un « mieux » d’Europe, et nous constatons aujourd’hui que ce vœu reste d’une grande actualité.
En priorité, nous avons tous besoin que l’Europe soit plus proche et plus protectrice, c’est-à-dire plus concrète et positive pour le citoyen, si nous voulons qu’elle soit mieux comprise et mieux défendue. Une démarche qui vaut tout aussi bien pour la montagne, ses populations et ses élus. Au fur et à mesure que les politiques de l’Union tendent à conforter le réseau des villes et à traiter de plus en plus des réalités urbaines, il est temps de rappeler que la montagne est une réalité qui ne concerne pas moins de 17 États membres sur 28, et qu’elle représente en superficie plus d’un tiers de l’Europe. Pour pallier l’insuffisance probable de représentants réellement montagnards au sein du nouveau Parlement, notre ferveur pour l’Europe est devenue un impératif salutaire pour se faire entendre correctement à Bruxelles. »

n°305 – LA QUALITÉ MONTAGNE FAIT LA DIFFÉRENCE DANS VOTRE ASSIETTE

Édito :

Annie GENEVARD, présidente de l’ANEM, députée du Doubs

« PLAIDOYER POUR UNE MONTAGNE PLUS ACCESSIBLE »

Dans notre contribution au Grand débat national nous avons souligné que l’enclavement reste une réalité dans de nombreux territoires de montagne parce que l’équipement routier et ferroviaire, voire aérien, est bien souvent inachevé. Cela est d’autant plus préjudiciable qu’un massif qui n’est pas pénétré est contourné et donc abandonné. À l’intérieur des massifs, les montagnards subissent les conséquences du sous-équipement, qu’il s’agisse des déplacements pour se rendre au travail (les mouvements pendulaires quotidiens en zone frontalière illustrent de façon paroxystique la situation) ou pour tous les autres aspects de la vie quotidienne. La mobilité reste la condition première de l’attractivité de la montagne pour le maintien et le développement des activités. Or, les contraintes de relief, d’altitude et de climat, inhérentes à la montagne, exigent des équipements adaptés, notamment pour des questions de sécurité et de garantie d’accès en toute saison – le tourisme saisonnier amplifiant périodiquement le phénomène de sous-dimensionnement des infrastructures. Les élus de la montagne souhaitent que la loi LOM améliore concrètement la mobilité au quotidien, grâce à des solutions de transport plus efficaces, plus propres et plus accessibles. Ainsi, avant de penser « nouvelles mobilités », il faut prioritairement achever les infrastructures routières et ferroviaires, et raisonner en temps de parcours et pas seulement en distance. C’est ce que nous avons expliqué à la ministre en charge des Transports, Élisabeth Borne, lors de notre rencontre en mai dernier. C’est aussi ce que ne manqueront pas de rappeler, ce mois de juin, les députés particulièrement déterminés à donner droit de cité à la montagne, lors de l’examen du projet de loi du gouvernement.
Demain, nous, élus de la montagne, devrons veiller à ne pas oublier l’essentiel de ce que cette épreuve nous aura révélé.»

n°306 – LES MONTAGNARDS GARDIENS DE LA BIODIVERSITÉ

Édito :

FRÉDÉRIQUE LARDET, vice-présidente de l’ANEM, députée de la Haute-Savoie

« LA MONTAGNE VIVANTE, GARANTE DE BIODIVERSITÉ »

Avec la multiplication de rapports alarmants, la prise de conscience des menaces qui pèsent sur la biodiversité ne cesse de progresser dans l’opinion. Les activités humaines et le changement climatique sont tour à tour montrés du doigt. Pour leur part, les montagnards savent depuis longtemps à quoi s’en tenir pour ce qui est de leurs territoires. Milieu sentinelle au même titre que le littoral pour ce qui est de l’impact des hausses progressives de températures, les bouleversements les plus spectaculaires sont d’ores et déjà à l’œuvre: aridité accrue ainsi que remontée progressive des étages de végétation et des écosystèmes qui leur sont attachés. L’aire des milieux biologiques alpins est ainsi appelée à se rétrécir tandis que celle de la moyenne montagne devrait gagner du terrain et faire fonction de refuge pour nombre d’espèces animales et de variétés végétales en provenance des strates en contrebas. Les acteurs de terrain n’ont d’autre choix que d’adapter leur activité, et leurs efforts en ce sens devront perdurer. En cela, ils sont utiles pour l’ensemble de la collectivité. Car en montagne, le facteur humain est un élément primordial et déterminant pour la richesse et la qualité de la biodiversité. La tentation chez certains à l’ensauvagement ou à la sanctuarisation des territoires montagnards conduirait assurément à un appauvrissement préjudiciable à tous. Voilà le fondement de l’engagement permanent de l’ANEM pour une montagne vivante au quotidien. Loin d’être un corps étranger ou un élément perturbateur indésirable, l’homme doit rester l’élément central du dispositif qui assure le juste et fragile équilibre entre développement et protection, en lui permettant d’assurer son rôle de multiplicateur. À l’occasion de la pause estivale, nous avons fait le choix d’en faire le rappel, images à l’appui.

n°307 – LA RURALITÉ EST DIFFÉRENTE EN MONTAGNE

Édito :

JEANINE DUBIÉ, secrétaire générale de l’ANEM, députée des Hautes-Pyrénées

« RURAUX, OUI, MAIS PAS SEULEMENT »

Au cours de cette rentrée, entre l’adoption définitive de la loi d’orientation des mobilités et l’engagement du débat sur le projet de loi relatif à l’engagement dans la vie locale et la proximité de l’action publique, sans oublier les conclusions de la mission agenda rural et le traditionnel projet de loi de finances pour l’année à venir, la montagne ne manquera pas d’occasions pour rappeler et faire reconnaître sa singularité. Chacun de ces rendez-vous reste néanmoins un challenge en soi. En effet, sur chaque texte ou projet de décision, nous nous heurtons de façon presque systématique à la même réponse dilatoire qui laisse entendre, soit que notre spécificité sera nécessairement respectée et donc inutile de la formaliser, soit que cette spécificité ne saurait être regardée comme un droit systématique. La loi l’affirme pourtant sans ambiguïté depuis plus de 35 ans. De la même manière, il nous faut souvent affronter un discours globalisant qui soutient que dès lors que des réponses sont apportées au rural, elles sont également appropriées pour la montagne. C’est une approche réductrice qui oublie un peu trop facilement que si les territoires de montagne sont en bonne partie des territoires ruraux, ils sont confrontés à des situations inconnues ailleurs en raison de la pente, de l’altitude et des rigueurs climatiques. Il ne s’agit ni de pré carré ni de privilèges que nous défendrions bec et ongles, mais bien de besoins réels, quotidiens et souvent vitaux, qui appellent des réponses propres. Nous voici de nouveau à l’œuvre avec une énergie nouvelle pour les promouvoir.

n°308 – FISCALITÉ LOCALE : LA MONTAGNE ENTRE ESPOIR ET VIGILANCE

Édito :

Annie GENEVARD, présidente de l’ANEM, députée du Doubs

« POUR QUE L’HUMAIN SOIT AU CŒUR DE LA MONTAGNE »

En se donnant pour thème « L’homme au cœur de la montagne », notre Congrès s’inscrit non seulement dans son temps mais il lance aussi un vibrant appel pour que les actes s’accordent aux engagements. En effet, avec l’adoption de l’Acte II de la loi montagne voici bientôt trois ans, n’avions-nous pas l’assurance d’une relance de la politique de la montagne claire et déterminée ? Le président de la République lui-même n’annonçait-il pas il y a juste un an, en s’adressant aux éleveurs de montagne, son intention de replacer l’homme au centre du territoire dans une logique de différenciation ? Malgré cela, il semblerait que de nombreux dossiers impliquant la montagne aient du mal à aboutir. J’en veux pour preuve les difficultés à faire inscrire dans la loi d’orientation des mobilités des dispositions spécifiques à la montagne, la rigidité de l’artificialisation zéro en matière d’urbanisme ou l’insuffisance flagrante des réponses apportées cet été aux ravages toujours croissants des grands prédateurs. Loin de moi l’idée d’un procès d’intention. Ce constat s’explique très probablement par une insuffisante connaissance de la réalité montagnarde, faute de la pratiquer au quotidien et dans la proximité. Continuons donc, inlassablement, à œuvrer à la diffusion de la culture montagne en vue d’une meilleure compréhension de nos réalités et, par conséquent, d’un consensus fort sur les réponses appropriées à leur fournir. C’est une question justice territoriale !
Demain, nous, élus de la montagne, devrons veiller à ne pas oublier l’essentiel de ce que cette épreuve nous aura révélé.»

n°309 – LE 35e CONGRÈS REPLACE L’HUMAIN AU COEUR DE LA MONTAGNE

Édito :

Annie Genevard, députée du Doubs, présidente Jeanine Dubié, députée des Hautes-Pyrénées, secrétaire générale Frédérique Lardet, députée de la Haute-Savoie, vice-présidente

« LA MONTAGNE RELANCÉE »

À n’en pas douter, le 35e Congrès restera durablement dans les esprits. Non seulement pour l’accueil des élus et de la population au « pays des 3 B » (Basque, Béarn, Bigorre), mais encore et surtout pour la qualité des échanges qui ont eu lieu durant ces deux journées. Ou plutôt trois journées, devrions-nous dire, puisque les formations proposées aux élus par notre Association en marge du format traditionnel de notre Congrès se sont confirmées comme une expérience appréciée que nous ne manquerons pas de reconduire à l’avenir. L’intitulé du Congrès, « L’homme au cœur de la montagne », interrogeait la réalité des intentions gouvernementales en matière de relance de la politique de la montagne. Le doute en effet semblait permis, bientôt trois ans après l’adoption de l’Acte II de la loi montagne. Sur ce plan, plusieurs propos ministériels entendus à Ispoure et à Saint-Jean-Pied-de-Port devraient nous rassurer : l’Agence nationale de la cohésion des territoires confortera les missions des commissariats de massif, la montagne verra sa vocation pour l’expérimentation reconnue dans le futur projet de loi sur la différenciation et le dossier du calendrier scolaire devrait être réexaminé à la lumière des dysfonctionnements constatés. Bien entendu, sur tous ces sujets, les élus de la montagne devraient être associés ou consultés. Enfin, l’un des temps forts de ce Congrès restera le débat consacré aux enjeux de l’agropastoralisme au regard des politiques à conduire en matière de grands prédateurs. Sur ce dossier particulièrement tendu, les élus ont permis aux principaux acteurs, à savoir l’État et les éleveurs, d’avoir des échanges francs s’agissant des perspectives d’avenir. Nous pensons avoir fait œuvre utile en affichant notre détermination constante à porter et faire entendre la réalité des véritables acteurs de terrain. La ministre de la Transition écologique et solidaire, Élisabeth Borne, qui nous recevra sous peu, pourra elle même le constater. Maintenant, nous attendons avec impatience la réunion du 22 novembre du Conseil national de la montagne, à Saint-Dié-des-Vosges, pour avoir confirmation d’un commencement d’exécution de tous les engagements annoncés
Demain, nous, élus de la montagne, devrons veiller à ne pas oublier l’essentiel de ce que cette épreuve nous aura révélé.»

n°310 – LES STATIONS VILLAGES SONT DEVENUES TRÈS TENDANCE

Édito :

FRÉDÉRIQUE LARDET, vice-présidente de l’ANEM, députée de la Haute-Savoie

« DE L’ÉGALITÉ À LA COHÉSION »

Voici déjà la fin d’une année bien remplie, traversée de grands débats et ponctuée par l’adoption de textes législatifs importants (école de la confiance, transformation du système de santé, orientation des mobilités, etc.) Elle s’achève aussi sur la loi Engagement et proximité qui réaffirme le lien fort qui doit être prioritairement entretenu entre les collectivités territoriales et leurs élus ! Si les réformes en cours et celles à venir pour l’année 2020 nous engagent auprès de nos territoires, nous devrons, pour cette nouvelle année, poursuivre ce travail tout en les accompagnant dans ces transitions. Ainsi, il faudra prendre nos marques avec la nouvelle Agence nationale de la cohésion des territoires qui sera chargée d’accompagner les territoires en tenant compte de leurs spécificités (l’ANEM dispose notamment d’un siège au conseil d’administration). Les élections municipales de mars devraient apporter, au sein des communes, de nouvelles forces vives auprès de qui l’Association devra se faire connaître. Et l’élaboration du tant attendu projet de loi « 3 D » (décentralisation, différenciation, déconcentration), annoncé lui aussi pour le printemps, sollicitera toute notre aptitude à être force de propositions. Sur tous ces dossiers, l’ANEM sera présente avec le souci de rappeler ce que signifie et implique la prise en compte de la spécificité montagne, réaffirmée dans l’Acte II de la loi du 28 décembre 2016. J’ai d’ailleurs été désignée co-rapporteure de la mission qui sera chargée d’étudier les effets de la loi, trois ans après son adoption. C’est sur cet encouragement que je souhaiterais en mon nom, ainsi qu’en celui de la présidente, Annie Genevard, et de la secrétaire générale, Jeanine Dubié, vous adresser tous mes vœux pour passer d’excellentes fêtes de fin d’année et pour entamer 2020 confiant.e.s et enthousiastes. »
Demain, nous, élus de la montagne, devrons veiller à ne pas oublier l’essentiel de ce que cette épreuve nous aura révélé.»