La montagne apporte une contribution majeure au patrimoine commun de la nation. La part majoritaire qu’elle occupe dans les espaces protégés (la plupart des parcs nationaux métropolitains, une part substantielle des parcs naturels régionaux, des sites retenus dans le réseau Natura 2000, etc.) est une preuve manifeste de la richesse de sa biodiversité, l’interaction entre homme et milieu contribue positivement à cette abondance et le pastoralisme, notamment, y prend une part déterminante.

C’est pourquoi cette « aménité positive » doit être préservée en priorisant au besoin l’homme sur l’animal (en présence des grands prédateurs notamment), et doit aussi faire l’objet à l’avenir d’une rémunération qui permette d’en assurer l’entretien.